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Photographie | Gravure | Dessins et plans | Armoiries | Mobilier | Blason (héraldique) | Meubles royaux | Assyrie -- Antiquités | Histoire ancienne | Contribution à l'ethnologie | Antiquités (objets anciens) -- Collections | Antiquités (objets anciens) | Autochtones -- Canaries | Animaux sauvages | Kangourou roux | Australie | Maquettes (architecture) | Canaries (îles) | Orfèvrerie scythe | Tenerife (Canaries) | ...
Arbalète sur affût. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b83279-arbalete-sur-affut

Arbalète sur affût

L'arbalète sur affût permettait de lancer des flèches de grande longueur, des barres de fer rougies au feu ou des traits garnis d'étoupe enflammée. Elle pouvait être pointée comme une pièce d'artillerie moderne grâce à trois roues pour sa manoeuvre latérale et une crémaillère avec manivelle pour régler le tir en hauteur. Sa puissance destructrice était considérable (panneau informatif du musée). Cliché Mme Gomez, directrice de l'école Montesquieu de Pessac-33, dans le cadre de la semaine rousse de ses élèves de CE1-CE2 à Saint-Lary, octobre 2014.

Armoiries de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc1dc9-armoiries-de-dunkerque

Armoiries de Dunkerque

Grandes Armes de la ville de Dunkerque : Coupé, en chef d'or au lion passant de sable, en pointe d'argent à un dauphin couché d'azur crété et oreillé de gueules. La citation "Dunkerque a bien mérité de la Patrie" fut donnée par le Comité de Salut Public après l'héroïque conduite des habitants lors du siège de Dunkerque en 1793. La citation "Ville héroïque, sert d'exemple à toute la Nation" fut attribuée en 1917. Les médailles sont : La Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, 1919 ; Les Croix de Guerre avec Palmes, 1917 et 1945 ; La Distinguished Service Cross, 1919.

Armoiries de la Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379056e-armoiries-de-la-bolivie

Armoiries de la Bolivie

Armoiries de la Bolivie : c'est durant la présidence de Manuel Isidoro Belzu Humerez que le congrès détermine la dernière modification par le décret de loi du 5 novembre 1851. La forme et les couleurs sont réglementées par décret suprême du 14 juillet 1888. Le condor des Andes est l'oiseau national de la Bolivie. Situé sur le dessus du blason, il symbolise l'horizon sans limite de la Bolivie. la couronne de laurier et d'olivier est donc composée de deux arbres différents qui sont le laurier et l'olivier. Elle est située derrière le condor. Le laurier symbolise le triomphe et la gloire après la guerre. L'olivier est symbole de la paix et de la gloire des peuples. Les pavillons sont placés sur chacune des lances, il y en a donc six au total. Ces pavillons ont les mêmes couleurs que le drapeau, c'est-à-dire trois bandes de couleur, rouge, jaune et verte. Ils symbolisent donc la Bolivie. La hache représente l'autorité et le commandement de la Bolivie. Elle est située au-dessus à droite, derrière le canon. Les canons du XVIIIe et XIXe siècle ainsi que les fusils et les lances symbolisent les armes de la Bolivie. Il y a deux canons disposés en croix, quatre fusils avec baïonnette disposés également en croix par paire et alors 6 lances, deux fois trois lances, disposées en croix également. La casquette de la liberté est de couleur rouge et située sur l'extrémité de l'un des deux canons. Elle est le symbole de liberté. L'ovale est une ellipse de couleur bleu-ciel. Dans sa partie inférieure se trouvent 10 étoiles dorées et dans sa partie supérieurs on peut lire l'inscription "BOLIVIA" en lettres dorées et majuscules. À l'intérieur de cet ovale se trouve une ligne dorée. La couleur bleu-ciel représente le littoral perdu durant la guerre du Pacifique (1879-1884). La ligne dorée est utilisée comme décoration. Le Cerro Rico : au centre de l'image sont dessinées deux montagnes, une petite devant une grande. Celle-ci est appelée le Cerro Rico, une montagne située à Potosí. Elle est appelée la montagne riche car elle contient une énorme quantité de minerai d'argent. Elle fut découverte par Diego Huallpa et est encore exploitée de nos jours. La représentation de cette montagne symbolise donc la richesse des ressources naturelles de Bolivie. Le Cerro Menor constitue en quelque sorte un autel pour le Cerro Rico. La chapelle située sur le Cerro Menor, juste devant le Cerro Rico est une chapelle avec l'image du sacré-cœur de Jésus avec les bras ouverts. C'est une construction faite en granite et l'image du sacré-cœur de Jésus est en bronze. La botte de blé : céréale appelée kutmu en quechua. Il fut introduit en Amérique du Sud par les Espagnols et a atteint très vite la Bolivie. Il symbolise l'abondance des ressources alimentaires en Bolivie. Le palmier que l'on peut voir au premier plan de l'image du centre dont le nom scientifique est Parajubæa représente la richesse végétale de la Bolivie. Le soleil situé sur la gauche, derrière le Cerro Rico, c'est un soleil qui se lève. Il symbolise la naissance et la splendeur de la Bolivie. Le ciel possède les couleurs du lever du jour. Il symbolise la naissance et la splendeur de la République. Le lama situé au premier plan symbolise la richesse de la faune de la Bolivie. Les étoiles au nombre de 10 sont situées dans la partie inférieure de l'ovale bleu. Elles sont considérées comme un symbole de chance, de destin, de conquête. Ce sont des étoiles à 5 points et chacune d'elles représente un département de la Bolivie. Les voici dans l'ordre de gauche vers la droite : Chuquisaca, La Paz, Potosí, Cochabamba, Santa Cruz, Oruro, Littoral (perdu durant la guerre du Pacifique de 1879-1884), Tarija, Beni, Pando. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_la_Bolivie

Blason de Mortefontaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5352a6f1-blason-de-mortefontaine

Blason de Mortefontaine

Blason de la commune de Mortefontaine (Oise). Les armes de Mortefontaine se blasonnent ainsi : de gueules à la divise abaissée, accompagnée, en chef, de trois hérissons ordonnés 2 et 1 et, en pointe, de deux sangliers rangés en fasce, le tout de sinople. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mortefontaine_%28Oise%29

Croquis de pointe de flèche préhistorique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b97439-croquis-de-pointe-de-fleche-prehistorique

Croquis de pointe de flèche préhistorique

Croquis de pointe de flèche préhistorique attachée à la hampe par une lanière en cuir.

Harpon eskimo en os. Source : http://data.abuledu.org/URI/51231c1b-harpon-eskimo-en-os

Harpon eskimo en os

Harpon eskimo à poisson en os provenant de la Baie d'Hudson au Canada. Offert au Muséum de Bedford par W. O. Douglas en 1923. Un harpon est une arme constituée d'une lance dont la pointe est munie de crochets (barbelures ou barbillons). Ces crochets sont destinés à empêcher le harpon de ressortir de la proie une fois qu'elle a été frappée. Le harpon est généralement employé pour la pêche, tant aux poissons qu'aux grands mammifères marins tels que la baleine,

Kangourou roux australien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e25cbc-kangourou-roux-australien

Kangourou roux australien

Le Kangourou roux (Macropus rufus) est le plus grand des kangourous. Animal emblématique de l'Australie, il apparaît sur les armoiries du pays. Il a deux bras antérieurs réduits avec de petites griffes et deux pattes arrière puissantes lui permettant des bonds de 12 m de long. La queue très puissante sert de balancier pour la course ou d'appui pour le repos. C'est un animal vivant en petits groupes dirigés par un vieux mâle, passant les heures chaudes de la journée à l'ombre à dormir, à se reposer, à essayer de se rafraîchir en haletant, transpirant, se léchant pour faire évaporer sa salive, s'aérant en agitant les bras. Il mène une vie active du coucher du soleil au lever du jour. Les kangourous se déplacent par petits bonds, à une vitesse de croisière d'environ 30 km/h, et peuvent alors parcourir de longues distances. En cas de danger, ils peuvent passer à la vitesse supérieure et courir en zigzags très rapides, jusqu'à 60 km/h en moyenne avec des pointes à 80 - 90 km/h sur de très courtes distances. Parfois, ils peuvent faire des sauts aériens, jusqu'à 3,50 mètres de haut et 13 mètres en longueur, grâce à leurs ressorts et leurs longues pattes fines. Avec leurs grande rapidité et leurs agilité à bondir, ils n'ont pas vraiment de prédateurs (hormis l'homme qui le chasse avec des armes à feu).

Maquette d'un village guanche à Tenerife. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1820c-maquette-d-un-village-guanche-a-tenerife

Maquette d'un village guanche à Tenerife

Maquette d'un village guanche à Tenerife, Canaries. Les Guanches portaient des vêtements en peau de chèvre ou en fibres textiles que l'on a retrouvés dans des tombes sur la Grande Canarie. Ils appréciaient les bijoux, les colliers en bois, en pierre ou de coquillages fabriqués selon divers modèles. Ils utilisaient principalement des perles de céramique de formes variées, lisses ou polies, en général noires et rouges. Ils se peignaient le corps. Les pintaderas, objets en terre cuite évoquant des sceaux, semblaient servir uniquement à la peinture corporelle, dans des couleurs variées. Ils fabriquaient des poteries grossières généralement sans aucun décor, mais parfois ornées à l'aide des ongles. Les armes des Guanches étaient les mêmes que celles des anciens peuples du sud de l'Europe : hache en pierre polie sur Grande Canarie, et plus fréquemment la hache en pierre ou en obsidienne taillée à Ténérife. Ils utilisaient aussi la lance, la massue, parfois garnie de pointes en pierre, ainsi que le javelot. Il semble qu'ils aient connu le bouclier. L'alimentation de base des Guanches était le gofio, un aliment à base de céréales grillées d'origine berbère et élaboré à partir d'orge, de blé et de rhizome de fougère.

Mobilier antique. Source : http://data.abuledu.org/URI/530b53df-mobilier-antique

Mobilier antique

Planche 06, Mobilier antique, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach. Armes des pays du nord : 1-3, 11-12, masses ; 4-5, lances ; 6, hache ; 7-8, épées ; 9-10, boucliers ; 13-15, dagues ; 16, couronne ; 17, couteau ; 18-19, pointes. 20, corne scythe. Assyrie : 21-22, épées ; 23, carquois ; 24-25, 29-30, bijoux de bras ; 26, éventail ; 27, diadème ; 28, vase à boire ; 31-32, 34-35, boucles d'oreilles ; 33, tiare ; 36, trône ; 37, tabouret ; 39, table ; 38, siège. Hébreux : 40, chandelier à sept branches ; 41, vase à boire ; 42, trompette ; 43, table d'offrande du pain.

Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309f24e-mobilier-du-dix-septieme-et-du-dix-huitieme-siecle

Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle

Planche 92, Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach. Objets du dix-septième siècle : 1-4, 9-10, épées ; 5-7, casques ; 8, 11, 15, pointes de lances (pertuisanes) ; 12, hausse-col (gorgerin) ; 13, carabine ; 14, pistolet ; 16, vase ; 17, guitare ; 18-21, meubles et secrétaire ; 22-25, chaises et tabouret ; 26, 28, tables ; 27, commode ; 29, porte-buste ; 30, lit. Objets du dix-huitième siècle : 31, lit ; 32, table de toilette ; 33-34, 40, 43, 45-47, chaises ; 35-37, tables ; 38, sofa ; 39, miroir ; 41-42, 62, réveils ; 44, 45, sofas ; 47, 63, sirènes d'incendie ; 62a, tasse et sous-tasse ; 51, 53, 57-58, tables ; 52, 55, sièges ; 56, piano forte ; 54, chandelier ; 59, commode ; 60, étagères d'angle ; 61, armoire ; 64-72, sofas ; 65, 67-70, chaises ; 66, étagère ; 71, table.

Portrait d'Ambroise Paré. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ebdec-portrait-d-ambroise-pare

Portrait d'Ambroise Paré

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : AMBROISE PARÉ est un chirurgien et anatomiste français du XVIème siècle. Ambroise Paré est le chirurgien des champs de bataille, le père de la chirurgie moderne. Il est l'inventeur de nombreux instruments. La généralisation alors relativement récente de l’usage des armes à feu rend les chirurgiens familiers avec des plaies d'une sorte nouvelle, que l’on cautérise au fer rouge ou à l’huile bouillante au risque de tuer le blessé. Paré met au point la ligature des artères, qu'il substitue à la cautérisation, dans les amputations.